Tahar donne une vision nouvelle, celle de la galère de l’étudiant boursier et de la solitude qui règne dans les facultés et les cités universitaires. Il s’agit d’un portrait d’un jeune homme français d’aujourd’hui issu de l’immigration, d’un étudiant à la recherche d’un demain qui n’appartienne qu’à lui.  Je veux vivre mieux, je veux vivre bien, on m’avait dit que pour réussir il fallait étudier.